28 mars 2006

Retour par la route des pêches

Cette route pittoresque, très prisée des Cotonois le week-end pour se rendre à la plage, permet de relier Ouidah à Cotonou par le front de mer. Cases de pêcheur et défilé de palmiers en panorama, notre petite troupe rentre au camp de base après une journée enthousiasmante ! Pourtant le programme est loin d’être terminé… Ce soir, c’est enterrement de vie de jeune garçon pour moi et de jeune fille pour ma future femme ! Délires en perspective…

Alerte à Ouidah !

David Hasselhoff (alerte à Malibu) part sauver quelqu’un! Mais il se rend compte qu’il n’y a personne à sauver…

Papa protecteur

Voici le père du petit Zoulki… Enfin, son ange gardien pour cette fin d’après-midi. A observer Fred, on se dit vraiment qu’il ferait un père attentionné…

Un océan de bonheur

Cette après-midi historique, lourde de symboles, touche à sa fin. Piquer une tête ! Rien de tel pour se laver l’esprit. Méfiance tout de même, l’océan est aussi dangereux que dans le sud-ouest de la France. Le petit Zoulki, attendra donc de savoir nager avant de piquer une tête !

La porte de non retour

Ca y est, l’océan est là, frontière visible pour un départ sans retour. Les esclaves allaient être entassés, comme des sardines en boîte, avant de rejoindre leur « nouveau pays », à moins que la fatigue ou les maladies ne les emportent avant.

Décors de rêve pour une descente en enfer

Difficile de réaliser quel calvaire ont enduré les esclaves, tant nos symboles européens de paradis sont omniprésents…

La cordée symbolique...

Mon petit frère Gislain, jamais à cours d'idées, (j'allais le vérifier le soir même...) a encordé les yovos pour leur donner une idée du calvaire subit par les esclaves. La piste ,qui sépare Ouidah-centre, lieu du marché des esclaves, de la plage, lieu de leur départ sans retour, est longue d'environ 5 kilomètres et a été creusée par les chaînes des esclaves.

27 mars 2006

Concours de machos

Avant d'emprunter la route des esclaves, la bande effectue un détour distrayant dans la forêt magique de Ouidah où certains fétiches se dévoilent littéralement... Fred ne peut pas laisser passer une occasion pareille. Mais la question se pose... qui impressionne qui?

Sac de noeuds

Où sont les têtes? Où sont les queues?

22 mars 2006

Python mon amour!

... Ma soeur, quant à elle, se souviendra longtemps de ce moment! Je l'imagine aisément en charmeuse de serpents (-;

21 mars 2006

Le python zen

... d'autres optent pour la "zen attitude" pour mieux apprécier ce moment de convivialité...

Bienvenu au temple des pythons

Tout passage à Ouidah qui se respecte doit au moins se traduire par le port du python, qui selon les goûts de chacun, s'assimile alors à une très belle parure...
Gislain, mon petit frère ( de ma belle famille ) affiche une belle décontraction durant l'exercice! Posted by Picasa

Sur la route des esclaves

Ouidah est un autre site touristique réputée du Bénin. L'histoire malheureuse de l'esclavagisme au Bénin est étroitement liée à Ouidah qui tenait place de marché et d'embarcadère. L'autre facette de Ouidah, moins douloureuse, est le culte des python, aninaux sacrés de la ville. Ayant déjà visité Ouidah lors d'un premier séjour au Bénin, j'ai laissé ma famille et mes amis en expédition biens guidés par ma belle famille. Il fallait de toute façon que je me repose pour assurer lors du programme nocturne...

06 mars 2006

Le vent en poupe

Ganvié s'éloigne doucement mais sûrement à l'horizon. Nous venons de vivre un moment à part, à l'écart du temps. Ce temps que ces pêcheurs savent prendre... surtout avec des voiles trouées (-;

Dernier clin d'oeil

Ces deux jeunes garçons nous rapellent une dernière fois que ce n'est pourtant pas difficile de tenir en équibre sur une barque!

La sagesse...

Pour éviter les soubressauts de l'aller, nous avons décidé de revenir de Ganvié en barque motorisée. Certes, cette dernière est un peu plus stable et plus rapide mais ce n'est plus le même charme...

Sur le chemin du retour

L'heure est venue de quitter Ganvié. Nous reprenons donc notre place dans dans la file des barques. Nous gardons les yeux grands ouverts pour ne rien oublier de ce monde à part.

C'est l'heure de se restaurer

OUF! Entre nos craintes liées à l'instabilité de notre barque et le soleil qui commence sérieusement à chauffer nos crâne, il est temps de faire une pause. Rien de tel qu'un bon poisson braisé fraichement pêché et un fizzi pamplemousse pour reprendre des forces.

03 mars 2006

Le vert de l'eau

Certaines parties de Ganvié sont littéralement envahies par les plantes aquatiques. Les canaux deviennent alors de véritables labyrinthes. C'est tout un art de ne pas s'échouer... les occupants de ma barque savent bien de quoi je parle (-;

Un défi à l'équilibre

Certaines maisons tanguent aussi!

La vie sur l'eau

A Ganvié, tout est organisé autour de l'eau. On se promène en barque, on fait son marché en barque, les barques servent d'étales pour le marché, on flirt en barque...

Nous y voilà!

La première chose qui surprend en arrivant à Ganvié, c'est l'étendue de la cité et son nombre d'habitants. Plus de 20000 âmes vivent ici! Pas étonnant alors de trouver tous les services nécessaires à une ville : hôtel, école, marché...

01 mars 2006

La voie à suivre

Les femmes de Ganvié rentrent du marché. Au fur et à mesure que le dessin de la cité lacustre se précise, la circulation des pirogue s'intensifie. Nous approchons du but.